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Meilleures salutations,
L'équipe d'Otto's Travel Group
Les ressortissants de l'UE n'ont pas besoin de visa. Il vous faut seulement un passeport valide au moins
6 mois après la date d'entrée
Information importante : les formalités d'entrée et de
séjour peuvent changer à court terme ! Chaque participant au
voyage est responsable de les respecter.
Il est préférable d'arriver à Lima à 16h ou 17h (vol AF500 depuis Paris) et de repartir de
Belém entre 11h et 12h. Ces horaires correspondent aux vols généralement réservés par les
participants antérieurs.
Pour les voyageurs qui arrivent ou partent à d'autres horaires, nous pouvons organiser, sans coût
supplémentaire, un transfert avec chauffeur parlant espagnol ou portugais.
Point de rencontre :
Votre guide / chauffeur vous attend généralement à l'intérieur du bâtiment
de l'aéroport, juste à la sortie de la zone de sécurité. Vous le
reconnaîtrez grâce à une pancarte indiquant votre nom.
Remarque: exceptionellement, cette zone peut être très fréquentée et il est possible
que le guide / chauffeur vous attende à l'extérieur du bâtiment. Si vous ne trouvez pas
votre guide / chauffeur à l'intérieur, veuillez quitter le terminal en continuant tout droit
par la sortie correspondante (pour les arrivées internationales, il s'agit de la «Puerta
3» et pour les arrivées nationales, de la «Puerta 1»). Traversez ensuite la rue
en passant devant les chauffeurs de taxi. Votre guide / chauffeur vous attendra alors derrière le ruban
séparateur, près du panneau portant la mention «E1», de l'autre côté
de la rue, avec une pancarte à votre nom.
Le jour du départ, il vous attendra à la réception de l'hôtel à Belém.
Lors de ce circuit, chaque participant porte ses propres bagages. Il s'agit de distances quotidiennes de 20 à 100 mètres
entre le minibus/la voiture et l'hôtel, ou de 30 à 200 mètres entre le bateau et le lieu d'hébergement.
Une valise est donc souvent très encombrante, tant pour le transport en voiture que pour les transferts à pied sur un terrain
souvent peu adapté aux roulettes. Un sac de voyage avec une bandoulière et des roulettes de rechange se sont
avérés très pratique par le passé. Pour les repas dans la jungle au Pérou et en Bolivie, ainsi que pour
le matériel de cuisine, les lits de camp, etc., nous avons bien sûr du personnel, mais un coup de main est toujours bienvenu.
Pour les trois vols intérieurs, un article personnel (max. 45 x 35 x 20 cm), un bagage à main (max. 55 x 35 x 25 cm, 10 kg)
et un bagage en soute (158 cm - longueur x largeur x hauteur, 23 kg) sont généralement autorisés.
Sur le cargo, les bagages sont placés directement sous le hamac de chaque participant. Sur le pont se trouvent 100 à 250 autres
personnes qui font de même et en plus de 20 ans, rien n'a jamais été perdu ici, car chacun connaît, dès
l’embarquement, les bagages de son voisin et serait immédiatement alerté si un inconnu y touchait. Bien sûr, nous
recommandons de ne pas laisser d’objets de valeur tels que passeport, argent liquide, appareil photo et cartes de crédit à
portée de main dans les bagages. De nombreux participants (mais pas les habitants locaux...) apportent également un petit
cadenas qu'ils utilisent aussi lors des voyages en avion.
Vous trouverez des informations sur les objets à emporter dans la rubrique « Liste des choses à emporter ».
Lors de notre voyage, nous traversons des zones très éloignées
des circuits touristiques traditionnels, mais comme dans tout pays d'Amérique
latine et surtout en ville, vous devez être prudent et garder en
sécurité vos objets de valeur ou laisser à l'hôtel les
objets dont vous n'avez pas absolument besoin. Veuillez respecter les instructions
du guide touristique car il connaît très bien les lieux et vous signalera
d'éventuels dangers.
Il faut être particulièrement vigilant à pied en ville car il y
règne souvent “la loi du plus fort" et les piétons sont
régulièrement ignorés.
Dans les hôtels, les bagages sont montés dans les chambres des participants.
Le cinquième jour, les gros bagages restent à bord du bateau
d'expédition avec le capitaine. Le septième jour, notre groupe est seul
chez le chaman et les bagages sont rangés à côté des lits de
camp. Certains jours, les bagages seront entreposés dans une pièce du
village ou dans l'entrepôt à noix, sans qu'il y ait de surveillance.
Cependant, en 22 ans, rien n'a jamais été volé.
Les Péruviens prennent généralement un petit-déjeuner léger et un déjeuner peu copieux. Le repas principal n'est pris que le soir (il se compose généralement d'une soupe, de viande, de poisson ou de fruits de mer et d'un dessert). En Amazonie notamment, on sert de la viande de tapir rôtie au feu de bois ou au barbecue, appelée sachava. Le picadillo de paiche, typique en Amazonie, est un plat de poisson accompagné de tomates, d'oignons, de pommes de terre sautées et de riz. Les Brésiliens ont également l'habitude de prendre un petit-déjeuner léger, qui se compose généralement de café, de lait chaud, de fruits, de viennoiseries ou de pain, et éventuellement d'un peu de charcuterie et de fromage. Les principaux ingrédients des différent repas sont le riz, les ha ricots noirs et la farofa (farine de racine de manioc), accompagnés de viande, de poulet ou de poisson. Les repas servis lors de l'excursion en bateau et du safari hors piste sont un mélange de cuisine locale et européenne. Des cuisiniers spécialisés accompagnent le groupe pendant le voyage! Sur le cargo, le petit-déjeuner est simple, mais le guide achètera de la confiture, du salami et du fromage en supplément.
Dans la jungle, nous ne pouvons pas préparer de repas végétariens supplémentaires ni emporter d'autres aliments pour les clients qui n'aiment pas certains aliments ou qui ont des allergies (par exemple, du pain sans gluten). Cependant, nos cuisiniers s'efforcent de préparer des repas qui conviennent à tout le monde. Pour les végétariens, le cuisinier prépare par exemple davantage d'accompagnements ou un plateau de fruits supplémentaire le matin.
Oui, partout où il n'est pas possible d'acheter de l'eau, notre équipe dispose d’un conteneur afin que chacun puisse remplir sa gourde à tout moment.
Le circuit couvre un total de 2 400 km en seulement 23 jours, soit une moyenne de plus de 100 km par jour. Nous voyagerons en avion, à pied, en bateau, en bus, en navire ou en pick-up... Il est donc tout à fait normal que certains jours, nous parcourions de nombreux kilomètres. Dans les parcs nationaux de Manu et Tambopata, ainsi que lors du trajet entre le Pérou et la Bolivie, nous passons souvent 5 à 10 heures par jour en bateau, ce qui peut être éprouvant, surtout en cas de forte pluie, où nous risquons d'être un peu mouillés même à l’intérieur du bateau. Le guide essaiera toujours d'interrompre les trajets par des visites de villages indiens ou des observations d'animaux, même si certains jours, cela ne sera pas ou seulement partiellement possible ! Il faudra également s'armer de patience lors du trajet en pick-up de Sena à Guajaramerim en Bolivie, du trajet en autocar au Brésil vers Porto Velho (5 à 7 heures, avec peut-être une pause repas), du trajet en bus de Puerto Maldonado à Cobija et du trajet en cargo de Manaus à Santarem...
Il est recommandé d'emporter un adaptateur électrique, car trois
types de prises différents sont utilisés dans les pays visités
(types A, B et C). Au Pérou et au Brésil, la tension secteur est
généralement de 220 volts et la fréquence de 60 hertz, ce qui ne
pose généralement aucun problème pour les appareils français.
En Bolivie, la tension secteur est de 115/230 V avec une fréquence de 50 Hz.
Presque tous les hébergements situés en ville disposent de
l'électricité et généralement aussi du Wi-Fi. Dans la
jungle et d'autres régions reculées, il n'y a pratiquement pas
d'électricité, ou alors un générateur est mis en marche
pendant quelques heures seulement.
Lors d'une excursion en bateau dans le parc national de Manu ou dans la jungle
bolivienne, il n'est possible de recharger ses appareils électriques que de
manière limitée le soir. Ce n'est toutefois pas le cas sur le bateau.
En revanche, il est possible de recharger ses appareils électriques sur le cargo.
Absolument ! Nous voulons et souhaitons expressément que les participants soient en contact direct avec la population locale. Nous visitons des projets sociaux, des jardins d'enfants et des hôpitaux, nous passons la nuit chez des producteurs de noix amazonienne afin de découvrir leur quotidien, et nous laissons des chercheurs d'or clandestins nous montrer comment ils exploitent leurs immenses installations minières. En dehors de ces rencontres « planifiées », il est bien sûr toujours possible d'engager la conversation avec les gens que nous croisons, sur un marché par exemple ou les chauffeurs de taxis. Nos guides se feront un plaisir de vous aider à traduire. Et nous ne sommes pas les seuls à vouloir apprendre des autochtones ; eux aussi veulent souvent en savoir plus sur notre vie !
Nous attirons votre attention sur le fait que les observations d'animaux décrites dans ce voyage ne peuvent être garanties. Il s'agit d'expériences naturelles avec des animaux sauvages vivant en liberté, dont le comportement est imprévisible. Dans le cas peu probable où aucune observation n'aurait lieu, aucun remboursement ne sera possible. Notre équipe et nos partenaires locaux mettent cependant toute leur expérience en œuvre pour maximiser les chances d'observation.
Il n'y a ni été ni hiver en Amazonie, seulement une saison des pluies et une saison sèche. L'avantage de la saison des pluies est que tout y pousse de manière luxuriante et que la végétation est d'un vert intense. L'inconvénient est qu'il pleut pendant 1 à 2 heures l'après-midi. Mais même la pluie (chaude) peut être très rafraîchissante ! La nuit aussi, il pleut souvent pendant trois à six heures... Encore un détail sur la période du voyage : dans la région amazonienne, le climat est imprévisible. Il peut arriver que pendant la saison sèche (de mai à novembre), il pleuve abondamment, ou que pendant la saison des pluies (de décembre à avril), le soleil brille de mille feux.
Ce circuit en Amazonie a été conçu pour être réalisable toute l'année, et chaque mois a son charme particulier ! À noter:
Veuillez ne pas emporter d’argent liquide de France ! Il est conseillé de
prendre avec vous une carte bancaire (n'oubliez pas votre code PIN et
d’informer votre banque), car vous pouvez facilement retirer de l'argent dans
de nombreux distributeurs automatiques en ville et ainsi obtenir le meilleur taux de
change. Il n’est pas possible de changer des euros!
Notre guide vous aidera à changer votre « ancienne monnaie » en
« nouvelle monnaie » à un taux avantageux aux différents
postes frontières.
En moyenne, chaque participant aura besoin de 200 soles (environ 55 USD) au Pérou.
Cet argent peut être retiré aux distributeurs automatiques de
l'aéroport de Lima ou emporté en dollars américains depuis la
France et changé sur place en sols. Du 8e au 12e jour, 100 bolivianos (environ 15
USD) sont nécessaires pour les repas et boissons non inclus en Bolivie. Vous
pouvez changer cet argent en bolivianos à Puerto Maldonado à partir de
dollars américains (en espèces). Pour la troisième partie du voyage
(Brésil), chaque participant aura besoin, d'après notre
expérience, de 750 réaux (environ 150 USD) pour 16 repas principaux,
boissons comprises. L'argent peut être retiré aux distributeurs
automatiques à Puerto Velho ou Manaus.
Pour les amateurs de cocktails et de souvenirs, il est préférable de
prévoir un peu plus d'argent.
Les participants à l'expédition devront faire quelques concessions par
rapport aux normes d’hygiène à laquelle ils sont habitués en
Europe. Autres pays, autres mœurs !
Nous accordons une grande importance au choix d'hébergements aussi propres
que possible, mais cela s'avère parfois difficile dans les régions
éloignées des circuits touristiques, où seuls les habitants locaux
séjournent. Les restaurants que nous fréquentons sont
généralement « 100 % typiques », petits mais propres, et les
plats y sont toujours préparés à partir de produits frais.
La jungle est un lieu propice à l'aventure ! Ici, la vaisselle est
lavée dans la rivière et la « cuisine » se résume
souvent à une table en bois fabriquée en quelques minutes à partir
de branches prisent dans la jungle. Mais ici aussi, notre chef cuisinier et son
équipe, arrivés spécialement de Cuzco trois jours avant le
début du circuit, s'efforcent de préparer des repas aussi frais et
propres que possible. Nous emportons toujours de l'eau potable fraîche dans
des conteneurs que nous aurons achetés au préalable en ville ou dans un
village.
Les toilettes dans les hôtels sont raisonnablement propres et peuvent être
utilisées normalement. Dans les restaurants, elles sont souvent « typiques
du pays », simples, et ne correspondent généralement pas aux normes
européennes. Dans l'entrepôt de noix, nous pouvons utiliser les
toilettes du gestionnaire, lors des nuits en lit de camp au village, il y a des toilettes
basiques réservées à notre groupe et dans la jungle, un trou est
creusé dans le sol à la machette... Le papier toilette et la machette sont
bien sûr fournis. Il y a souvent aussi des toilettes rustiques dans les villages
indiens... Mais mieux vaut demander la machette !
À Riberalta (jours 10 et 11) et Manaus (jour 13 et 14), il est possible de faire laver son linge à un prix raisonnable (environ 3 USD / kilo).
Le circuit est accessible à toute personne en bonne condition physique. Il faut être capable de porter ses bagages sur une distance de 150 mètres.
Ce voyage n'est pas adapté aux personnes à mobilité réduite. Dans certains cas particuliers, veuillez nous contacter directement.
Pendant deux nuits consécutives, il peut arriver que l'alimentation électrique, normalement assurée par des générateurs, ne fonctionne pas dans le parc national de Manu, ainsi que dans la jungle bolivienne !
Il ne s'agit pas d'un « circuit » classique, mais d'une
EXPÉDITION dans une région peu touristique. Le guide peut donc, dans
l'intérêt du groupe, décider de modifier le programme du voyage
pour des raisons d'organisation, de sécurité, de conditions
météorologiques ou autres. Dans de tels cas, il n'est souvent pas
possible de proposer une alternative équivalente, ce qui ne donne toutefois pas
droit à une réduction du prix du voyage.
Les Latinos aiment la vie, la bonne cuisine et la musique à plein volume.
Il peut donc arriver qu'une fête se déroule par hasard dans notre
hôtel ou dans le voisinage et qu'elle se prolonge jusqu'au petit matin.
Dans de tels cas, il n'est souvent pas possible de proposer une solution de
remplacement équivalente, ce qui ne donne toutefois pas droit à une remise
sur le prix du voyage.
Nous avons toujours suffisamment d'autres tailles en stock pour que vous puissiez essayer une taille au-dessus ou en dessous, à condition que vous chaussiez du 39 au 46. Si vous avez besoin de chaussures plus petites ou plus grandes, nous vous prions de les apporter de chez vous. Veuillez vous assurer que les bottes montent jusqu'au genou.
Non, ce n'est malheureusement pas possible. D'une part, les deux guides formés spécialement pour ce circuit se partagent les 12 à 14 dates proposées chaque année, et il est pratiquement impossible de trouver une place disponible, surtout pendant la haute saison, de mi-septembre à mi-décembre. D'autre part, les coûts logistiques seraient trop importants, car le circuit a été conçu comme un voyage de groupe et ne peut être organisé de manière raisonnable que sous cette forme. En tant que voyage privé pour deux personnes, le circuit coûterait au moins 12 000 USD par personne.
Oui, le numéro d'urgence WhatsApp du groupe Otto's Travel est le suivant : +51 984 685 017. Veuillez n'envoyer un message WhatsApp ou appeler via WhatsApp à ce numéro qu'en cas d'urgence, ou si vous ne parvenez pas à joindre le guide touristique et que vous constatez un problème. Nos collaborateurs sont informés de tous les détails de votre voyage et peuvent vous aider immédiatement, jour et nuit ! Veuillez ne pas l’utiliser pour signaler un problème ultérieur ! Nous ne pouvons pas non plus vous aider pour des prestations qui ne font pas partie de notre gamme de services. Dans ce cas, veuillez vous adresser directement à votre organisateur.
Dernière mise à jour : 04/09/2025